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Au début du XXème siècle un chercheur disait « je ne peux pas faire mon expérience car les animaux sont morts »

Au milieu du XXème siècle un chercheur disait « je ne peux pas faire mon expérimentation car les animaux sont malades »

Au XXIème siècle, le chercheur déclare « je ne peux pas faire mon protocole car les animaux sont infectés »

Adapté de DG Baker. Clinical Microbiology Reviews, Apr. 1998, p. 231–266

Le phénotype sous influence

En fonction des thématiques et projets de recherche, il convient de définir « le modèle » le plus adapté. La génétique (génotype : fond génétique + mutation dans le cas d’OGM) et l’environnement sont des éléments qui font partie intégrante du modèle car ils déterminent le phénotype.

Dans les paramètres environnementaux, nous trouvons le statut sanitaire, on comprend donc qu’il peut influencer le phénotype. La situation se complique lorsque l’on souhaite connaitre le degré d’influence du statut sanitaire sur le phénotype observé. C’est pour cette raison, que l’utilisation d’un standard sanitaire (comme il existe des standards génétiques) est cruciale car il « limite », autant que possible, les variations causées par l’état sanitaire dans les résultats comparés. Ceci dit, il est tout à fait possible de ne pas utiliser de tel standard, mais dans ce cas, il devient paramètre à part entière de l’expérimentation, notamment parce qu’il peut générer une très forte variabilité dans les résultats obtenus.

 

Statuts sanitaires conventionnel, SPF/EOPS et SOPF

Ainsi, la reproductibilité et la comparaison des résultats dans la communauté scientifique imposent de définir des standards qu’il convient de choisir en fonction de la finalité de ses études. Le standard européen de référence est établi par la FELASA (Federation of European Laboratory Animal Science Associations) qui fonctionne sous forme de recommandations définissant et ne reconnaissant que le statut SPF (EOPS) et SOPF. A chaque statut sanitaire, correspond une liste d’exclusion, c’est-à-dire une liste d’agents infectieux qui doivent être absents de l’animalerie. Le statut « conventionnel » est basé sur une liste d’exclusion contenant uniquement les agents zoonotiques majeurs (zoonose : maladie qui peut se transmettre de l'animal à l'homme ou de l'homme à l'animal). Le statut SPF considère les principaux pathogènes chez les rongeurs et permet donc d’établir un état sanitaire pour des animaux « en bonne santé » et indemnes des principaux pathogènes. Le statut SOPF comprend dans sa liste d’exclusion les agents du statut SPF auquel on ajoute des opportunistes.

Pour maintenir un statut sanitaire dans la durée, il est nécessaire de mettre en place des barrières (d’autant plus importantes que le statut est élevé) et d’assurer un suivi sanitaire des animaux présents afin de vérifier l’exclusion des agents souhaités (fonction du type de statut souhaité) et garantir le statut sanitaire.

 

L'importance du statut sanitaire d'un point de vue gestion d'une animalerie 

Il est impossible d’évaluer avec certitude si un statut sanitaire est adapté à ses expérimentations. Ceci dit, le principe n’est pas de « tout » exclure ou de « tout » accepter mais d’avoir « une liste d’exclusion » sur la base de :

  • Les agents que je teste (on identifie et évalue uniquement ce que l’on recherche).
  • Parmi ces agents testés, lesquels sont tolérés dans mon animalerie et lesquels sont à exclure en fonction du type de recherche effectuée. Attention : la plupart des agents interférents sur vos résultats expérimentaux ne sont pas responsables de signes cliniques chez les rongeurs. Autrement dit, votre souris peut sembler être en parfaite santé et être un très mauvais modèle animal. C’est pour cela que des dépistages réguliers sont indispensables.

 Dans un institut de recherche, il y aura essentiellement deux contraintes :

  • Inter-institut : de pouvoir réaliser ses expérimentations dans les conditions qui permettront une reproductibilité avec d’autres instituts utilisant les mêmes normes (standards).
  • Intra-institut : De permettre à tous d’avoir des animaux avec un statut compatible avec ses expérimentations malgré la pluridisciplinarité de l’Institut.

Cela peut passer par une animalerie à un fort taux d’exclusion pour convenir à tous mais avec des contraintes logistiques importantes ou bien par la multiplication de zones distinctes (avec barrières sanitaires) couvrant plusieurs statuts sanitaires.

 

Figure 1 : statut sanitaire le plus adapté en fonction du besoin. En bleu : organisation de l'état (cryoconservation et animaux respirants) et des statuts sanitaires. L'intégrité de chaque zone est maintenue grâce aux barrières sanitaires. Le flux d'animaux se fait de SOPF vers conventionnelle, par contre, le retour à un statut supérieur n'est possible que par décontamination. En gris : utilisation du modèle en fonction du statut sanitaires. Un modèle se protège et s'échange plus facilement s'il est cryoconservé et/ou au statut SOPF, par contre l'expérimentation est plus aisée (flux et barrière plus simple) au statut sanitaire conventionnel ou SPF/EOPS. L'élevage et la production de lot seront d'autant plus facilités que les animaux sont en bonne santé, donc en statut plutôt SOPF et SPF. Ce principe est à adapter en fonction des projets de rechercher et leurs sensibilités aux statuts sanitaires.

Avant tout en considérant le bon sens, la réglementation et l’éthique, le fait d’avoir des animaux en bonne santé et non porteurs de pathogènes est essentiel et s’inscrit complétement dans la règle des 3Rs (maintien d’un élevage sain et productif). De plus, il y a des considérations économiques liées à la perte d’un modèle pour des raisons sanitaires et à l’impossibilité d’exploiter des résultats expérimentaux. Enfin, un standard sanitaire offre de meilleures possibilités d’échange d’animaux entre les collaborateurs.

 

L'importance du statut sanitaire d'un point de vue de l'interprétation des résultats 

 Maintenant que répondre à la question : « quel agent aura une influence sur mes expérimentations ? »

Tout d’abord, il est important de noter que les déficiences génétiques présentes dans les lignées OGM peuvent modifier leur susceptibilité aux agents opportunistes et/ou symbiotiques (microbiote) et ainsi faire émerger des « Pathobiontes » normalement sans impact sur le statut sanitaire.

De façon générale, on comprend bien que la liste ne sera pas exhaustive et avec des biais en fonction de la finalité de chacun et de la prévalence des agents infectieux en animalerie. Ceci dit, vous trouverez ci-dessous un tableau qui tente d’établir des « champs » d’interférences sur la recherche en fonction des agents trouvés (source https://www.inserm.fr/sites/default/files/media/entity_documents/Inserm_RecommandationsEtablissementsExperimentationAnimale_2009.pdf).

S’il est plutôt aisé de comprendre que de nombreux microorganismes auront une influence en immunologie ou sur le système digestif et respiratoire, on peut citer pour d’autres domaines par exemple :

  • Le parvovirus qui empêche la pousse tumorale lors d’études en Oncologie.
  • Encephalitazoon Cuniculi et différents virus chez la souris (MVM, TMEV, LCMV et MAD1), qui agissant sur le système nerveux central, auront un impact sur des études en neurobiologie.
  • Le MHV est connu pour avoir une interférence très forte dans différents domaines, à commencer par la zootechnie et l’élevage.

 

Domaine de recherche # Classes d'Agents interférant Agents décrits pour interférer avec les résultats
Hématologie 3 Ectromelia virus, MHV, MVMp&i
Diabète 3 Ectromelia virus, MHV, PVM
Cardiologie & circulation sanguine 4 Ectromelia, LCMV, MHV, Clostridium piliformis
Reproduction 4 Ectromelia, MHV, Mycoplasma sp. (pulmonis), Salmonella sp.
Système nerveux central & comportement 8 Ectromelia virus, MHV, LCMV, MVMp&i, mAd, TMEV, Encephalitozoon cuniculi, Syphacia muris, Syphacia oblevata, Aspicularis tetraptera
Toxicologie 8 Ectromelia virus, MHV,  LCMV, Helicobacter sp., Mycoplasma sp. (pulmonis), Clostridium piliformis, Salmonella sp., Streptococcus pneumoniae
Tractus respiratoire 9 Ectromelia virus, MHV, Sendaï virus, PVM, Mycoplasma sp. (pulmonis), Clostridium piliformis, Salmonella sp., Streptococcus beta-hémolytique, Streptococcus pneumoniae
Tractus gastro-intestinal 12

Ectromelia virus, MHV, EDIM, mAdV, Reo3, Helicobacter sp., Citrobacter rodentium, Clostridium piliformis, Giardia muris, Spironucleus muris, Syphacia muris, Syphacia oblevata, Aspicularis tetraptera, Emeria sp., Encephalitozoon cuniculi

Oncologie 12

Ectromelia virus, LCMV, MHV, MVMp&i, MPV, Reo3, Sendaï virus,  Helicobacter sp., Citrobacter rodentium, Corynebacterium kustcheri, Encephalitozoon cuniculi, Mycoplasma sp. (pulmonis)

Immunologie 16

Ectromelia virus, MHV, MPV, MVMp&i, LCMV, Sendaï virus, PVM, Reo3, Myobia musculi, Radfordia affinis, Myocoptes musculinus, Citrobacter rodentium, Corynebacterium kustcheri, Encephalitozoon cuniculi, Mycoplasma sp. (pulmonis), Syphacia muris, Syphacia oblevata, Aspicularis tetraptera, Giardia muris, Spironucleus muris, Staphylococcus aureus

 

  Agent Hôte Organo-tropisme Morbidité Mortalité Signes cliniques Interférence avec la recherche
Virus Mouse hepatitis virus (MHV) Souris Polytropique Jusqu’à 100% 0% adultes mais jusqu’à 100% chez nouveaux nés (épizootie) Généralement asymptomatique (enzootie). Epizootie (lors de la première contamination) : asymptomatique chez l’adulte, diarrhée et mort chez les nouveaux-nés. Mort chez les animaux immunodéprimés (nécroses multifocales). Hautement interférent (tous systèmes et fonctions).
Rotavirus murin (EDIM) Souris Intestin nd nd Signes cliniques seulement suite à infection péri natale. Chers jeunes : diarrhée jaune, léthargie, abdomen gonflé. Système gastro-intestinal, physiologie générale, nutrition, zootechnie.
Mouse minute virus (MVMp et i) Souris (rat, hamster) Cellules en mitose fibroblastes (p) et lympho T Variable Variable Dépendant de la souche et du virus. Allant d’asymptomatique (C57BL/6) à létal avec hémorragie intestinale (DBA/2) ou rénale (C3H, BALB/c). Système immunitaire, hématopoïétique, rein, SNC, oncologie, zootechnie.
Mouse parvovirus (MPV) / Rat Parvovirus (RPV) Souris, rat Cellules en mitose. Polytropique, avec prédilection pour organes lymphoïdes. nd 0% Asymptomatique et apathogénique même chez les animaux immunodéprimés. Système immunitaire, oncologie, Rejet des allogreffes. Interférences pas encore toutes connues.
Pneumonia virus of mice (PVM) Souris, rat (hamster, cochon d’inde, lapin) Tractus respiratoire 20% (souris) à 50% (rat, hamster) 0% sauf animaux immunodéprimés Généralement asymptomatique sauf chez les animaux athymiques (pneumonie chronique, émaciation et mort). Tractus respiratoire, immunologie, diabète.
Para-influenza virus type 1 (Sendai) Souris, rat, hamster (cochon d’inde) Tractus respiratoire Jusqu’à 100% Jusqu’à 100% Généralement asymptomatique (enzootie). Epizootie (lors de la première contamination) : dyspnée, retard de croissance, mort (jeunes) avec nécrose inflammatoire de l’épithélium respiratoire. Tractus respiratoire, immunologie, cancérologie, embryologie, apoptose.
Theiler's murine encephalomyelitis virus (TMEV) Souris (rat) Muqueuse intestinale puis foie, rate et SNC. Faible Faible Généralement asymptomatique.1 cas clinique / 4000 à 10000 animaux infectés (sauf épizootie à GDVII). Apres dissémination dans le SNC, paralysies uni ou bilatérales, poliomyélites avec nécrose et démyélinisation. SNC (modèles de maladies neurologiques).
Lymphocytic choriomeningitis virus (LCMV) Souris, hamster (rongeurs, chiens, primates, humains) Principalement rein, glandes salivaires, tissues lymphoïdes et hématopoïétique. nd Variable de 0 à 100% selon le virus Variable selon l’âge, l’espèce; la souche des animaux ainsi que le sous-type de virus. Généralement asymptomatique chez la souris adulte après infection naturelle. Glomérulonéphrite tardive (7 Ŕ 10mois). SNC, foie, circulation sanguine, immunologie, oncologie.
Ectromelia virus Souris (rat) Peau, organes lymphoïdes, foie, rate. Variable Variable Très variable selon les souches, de généralement inapparent (C57BL/6) à mortel (C3H, BALB/c, DBA/2). Pustules, léthargie, prostration, mort subite. Nécroses multiples (rate, gg lymphatiques, thymus, foie). Très interférant (tout systèmes et fonctions).
Mouse adenovirus type 1 et 2 Souris, rat MAd1 : polytropique, MAd2 intestin nd 0% par infection naturelle Asymptomatique (infection naturelle) sauf chez les animaux immunodéprimés. SNC (MAd1), rein, tractus gastro-intestinal.
Reovirus type 3 (Reo 3) Rongeurs Tractus digestif Faible Faible Asymptomatique, même chez animaux immunodéprimés. Exceptionnellement chez le jeune : diarrhées, jaunisse, alopécie abdominale avec nécrose hépatique et « foie jaune ». Tractus gastro-intestinal, immunologie, carcinogenèse, apoptose.
Hantavirus Rongeurs Poumons et autres tissus nd nd Asymptomatique. Virus pouvant être détecté dans les poumons 10 jours après l’infection puis dans l’urine et la salive. Zoonose majeure : nombreuses souches avec pouvoir pathogénique variable chez l’homme.
Bactéries Citrobacter rodentium Souris Gros intestin Faible Variable Fèces déshydratés, prolapsus rectal d’incidence variable, taille réduite et/ou mortalité au sevrage, morbidité et mortalité augmentée chez animaux immunodéprimés. Tractus gastro-intestinal, immunologie, (oncologie).
Clostridium piliformis Mammifères Intestin, foie, coeur Variable selon l’hôte et l’isolat Variable, peut être forte Généralement subclinique, pathologies plus fréquentes chez les jeunes (sevrage). Anorexie, diarrhées, inflammation de l’iléum, nécroses focales (foie et/ou coeur), adénopathie mésentérique. Système gastro-intestinal et cardio-pulmonaire. Foie (toxicologie), zootechnie.
Corynebacterium kustcheri Souris, rat (hamster, cochon d’inde) Polytropique. Prédilection : tractus respiratoire, oreille moyenne et tissus superficiels. Jusqu'à 100% (signes cliniques 5 à 60%) Faible En général inapparent chez rat et souris. Signes cliniques apparaissent après immunosuppression, stress ou co-infection. Abces superficiels puis des organes internes. Pneumonies dans certaines lignées de rat. Dermatologie, immunologie, oncologie.
Mycoplasma sp. (pulmonis) Souris, rat (lapin, cochon d’inde) Epithélium respiratoire, oreille moyenne, tractus génital. Faible à moyenne Faible Généralement asymptomatique chez les adultes. Infections des organes cibles (otites, conjonctivites, infections respiratoires et du tractus génital). Morbidité et mortalité augmentées par combinaison avec d’autres infections pneumotropiques Très interférant (surtout pour les études à long terme).
Tractus respiratoire, système immunitaire, reproduction, toxicologie, nutrition, (oncologie).
Pasteurella sp. Rongeurs (pneumotropica) peau, organes externes. Variable selon l’hôte et l’isolat Variable Généralement asymptomatique. Inflammations suppuratives (otites, ophtalmies). Peau
Salmonella sp. Mammifères Tractus intestinal Variable Variable Généralement asymptomatique, pathologies variables selon les cas. Pathogène chez les animaux immunodéprimés Reproduction, foie, poumon, métabolisme glucidique et hormonal.
Streptococcus pneumoniae Souris, rat, cochon d'inde, homme Fosses nasales, oreille moyenne nd nd Généralement asymptomatique. Signes cliniques non spécifiques, classiquement atteinte broncho-pulmonaire, dégradation de l’état général, septicémie. Tractus respiratoire, foie, tyroïde.
 Helicobacter sp. Souris, rat, hamster   Tractus intestinal, foie Jusqu'à 100%  Faible (10%) Hépatite chronique et risque augmenté de tumeurs hépatique. Inflammation du gros intestin avec prolapsus rectal (5%) chez animaux immunodéprimés   Tractus gastro-intestinal, toxicologie, oncologie (carcinogenèse). Interférences pas encore toutes connues.
Streptococcus beta-hémolytique Souris, rat, cochon d'inde, homme Noeuds lymphatiques cervicaux, poumons. nd nd Asymptomatiques le plus souvent (rarement pneumonie). Surtout pour les animaux immunodéprimés. Tractus respiratoire.
Staphylococcus aureus Souris, rat, homme Nasopharynx, tube digestif bas, pelage et peau. nd nd Asymptômatique le plus souvent. Parfois dermatite ulcérative (surinfection). Surtout pour les animaux immunodéprimés (abcès faciaux et orbitaux). Immunologie, études de vieillissement.
Streptobacillus moniliformis Souris, rat, cochon d'inde, homme Nasopharynx, oreille moyenne, tractus respiratoire et abcès sous cutanés. nd nd Asymptômatique chez le rat. Souris : conjonctivite, diarrhée, émaciation et forte mortalité (épizootie) ; arthrite chronique et amputations (enzootie). Infections rares.
Ectoparasites Acariens : Myobia musculi, Myocoptes musculinus, Radfordia affinis Souris, rat Peau, poil Variable Faible Variable selon les souches. Amaigrissement, prurit, alopécie partielle, autophagie. Lésions généralement dorsales (bas du dos). Immunologie.
Dermatophytes : Microsporum spp., Trichophyton spp. Cochon d'inde, lapin, homme, souris, rat Peau, poil nd nd Asymptômatique le plus souvent. Infestations rares
 Endoparasites Protozoaires flagellés :
Giardia muris,
Spironucleus muris
Rat, souris Intestin Variable Variable Généralement asymptomatique, signes cliniques non spécifiques (perte de poids, prostration, gonflement de l’abdomen et mort). S. muris : signes cliniques plus fréquents chez animaux au sevrage et animaux immunodéprimés  Tractus gastro-intestinal, immunologie.
Entamoeba sp. Mammifères Intestin Variable 0% Rares infection chez souris et lapin. subclinique nd
Oxyures :
Syphacia muris,
Syphacia oblevata,
Aspicularis tetraptera
Rongeurs Caecum, colon Forte 0% Généralement sub- clinique. Perte de poids, prostration, prolapsus rectal chez sujets fortement infestés. animaux immunodéprimés plus sensibles S. muris : signes cliniques plus fréquents chez animaux au sevrage et animaux immunodéprimés. Incidence faible : immunologie, transport intestinal, croissance, comportement
Emeiria sp. Lapin, cochon d’inde (rat, souris) Intestin Variable Faible Diarrhées, perte de poids, entérite et mort principalement chez jeune lapin. Tractus gastro-intestinal
Encephalitozoon cuniculi Lapin, cochon d’inde, rat, souris. Epithélium intestinal puis polytropique. Variable à forte Faible Généralement asymptomatique. Lésions rénales (fibroses) et des méninges (encéphalites) avec symptômes neurologiques (paralysies, cécités). Forte mortalité chez les animaux immunodéprimés. Tractus gastro-intestinal, rein, SNC, immunologie, oncologie.
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